Voici mon Témoignage numéro 13.

Prêtres , réveillez vous si vraiment vous aimez le peuple martiniquais , avant qu'il ne soit trop tard .

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Le témoignage de Robert Janvier

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Quelques extraits de Maria Valtorta:

 Vous pouvez vous renseigner sur cette soeur ici : Site sur Maria Valtorta

Introduction sur Maria Valtorta :

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Extrait que le Seigneur m'a inspiré à vous partager :

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Si vous préférez lire , voici le texte de l'extrait : 

 

« TU NE COMMETRAS PAS L'IMPURETÉ DE CORPS 
NI DE CONSENTEMENT » 
(Maria Valtorta - L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - Tome 2)



“Ne commettez pas l’impureté” est-il dit. 
La fornication vient en grande partie de l’homme. Et, je ne m’arrête pas non plus à cette inconcevable union qui est un cauchemar et que le Lévitique condamne par ces paroles: “Homme, tu ne t’uniras pas à l’homme comme si c’était une femme” et “Tu ne t’uniras à aucun animal pour te souiller avec lui, et ainsi, aussi pour la femme, car ces unions sont criminelles ”. 
Mais après avoir marqué le devoir des époux à l’égard du mariage qui cesse d’être saint quand, par malice, il devient infécond, j’en viens à parler de la fornication proprement dite entre homme et femme par malice réciproque et par paiement en argent ou en cadeaux. 
Le corps humain est un temple magnifique qui renferme un autel. Sur l’autel, c’est Dieu qui devrait se trouver. Mais Dieu n’est pas où existe la corruption. Le corps de l’impur a donc un autel déconsacré et sans Dieu. 
Semblable à un homme ivre qui se roule dans la fange et dans ses vomissements, l’homme s’avilit lui-même dans la bestialité de l’impureté et devient pire qu’un ver et que la bête la plus immonde. Et dites-moi, si parmi vous il y a quelqu’un qui s’est dépravé, au point de vendre son corps comme on vend du blé ou un animal, quel bien vous en est-il venu? Prenez-vous le coeur en mains, examinez-le, interrogez-le, écoutez-le, voyez ses blessures, la douleur qui le fait frissonner et puis parlez et répondez-moi: était-il si doux ce fruit pour mériter cette souffrance d’un coeur qui était né pur et que vous avez contraint à vivre dans un corps impur, à battre pour donner vie et chaleur à la luxure, et l’user dans le vice? 
Dites-moi: mais êtes-vous si dépravés pour ne pas sangloter secrètement en entendant une voix d’enfant qui appelle: “maman” et en pensant à votre mère, ô femmes de plaisir, échappées de la maison, ou chassées pour que le fruit pourri ne gâtât pas, par sa pourriture, les autres enfants? En pensant à votre mère qui peut- être est morte de la douleur de devoir se dire: “J’ai enfanté un être qui fait ma honte ”? 
 Mais n’avez-vous pas senti votre coeur se briser en rencontrant un vieillard que ses cheveux blancs rendaient respectable, à la pensée que vous avez jeté le déshonneur sur ceux de votre père comme de la boue prise à pleines mains et avec le déshonneur le mépris de son pays natal? 
Mais ne sentez-vous pas le regret vous étreindre les entrailles en voyant le bonheur d’une épouse ou l’innocence d’une jeune fille, et de devoir vous dire: “Moi, j’ai renoncé à tout cela et je ne l’aurai jamais plus! ”? 
Mais ne sentez-vous pas la honte qui vous défigure lorsque vous rencontrez le regard d’un homme plein de convoitise ou de mépris? 
Mais ne ressentez-vous pas votre misère quand vous avez soif du baiser d’un bébé et que vous n’osez plus dire: “Donne-le moi” parce que vous avez tué des vies qui devaient naître, rejetées par vous comme un fardeau ennuyeux et une gêne inutile, détachées de l’arbre qui les avait conçues, et jetées au fumier, et maintenant ces petites vies vous crient: “assassines! ” ? 
Mais ne tremblez-vous pas surtout à la pensée du Juge qui vous a créés et qui vous attend pour vous demander: “Qu’as-tu fait de toi-même? Est-ce pour cela que je t’ai donné la vie? Nid de vermine et pourriture, comment oses-tu te tenir en ma présence? Tu as eu tout de ce qui était pour toi un dieu: la jouissance. Va au lieu de l’éternelle malédiction ”. 
Qui pleure? Personne? Vous dites: personne? Et pourtant mon âme va à la rencontre d’une autre âme en pleurs. Pourquoi y va-t-elle? Pour jeter l’anathème à une prostituée? Non. Parce que son âme me fait pitié. Tout en Moi est répulsion pour son corps souillé, qui transpire une sueur immonde. Mais, son âme! 
Oh! Père! Père! C’est pour cette âme aussi que j’ai pris chair et que j‘ai quitté le Ciel pour être son Rédempteur et celui de tant d’âmes, ses soeurs! Pourquoi ne devrais-je pas recueillir cette brebis errante, l’amener au bercail, la purifier, l’unir au troupeau, lui donner des pâturages et un amour qui soit parfait comme seul le mien peut l’être? Si différent de ce à quoi jusqu’ici elle donnait le nom d’amour, alors que ce n’était que haine, un amour si compatissant, si complet, si doux pour qu’elle ne pleure plus le temps passé, ou qu’elle le pleure seulement pour dire: “J'ai perdu trop de jours loin de Toi, Eternelle Beauté. Qui me rendra le temps perdu? Comment goûter, dans le peu de temps qui me reste à vivre, ce que j’aurais goûté si j’étais toujours restée pure? ” 
Et pourtant ne pleure pas, âme foulée aux pieds par toute la luxure du monde. Ecoute: tu es une loque dégoûtante, mais tu peux devenir une fleur. Tu es un fumier, mais tu peux devenir un parterre fleuri. Tu es un animal immonde, mais tu peux devenir un ange. Un jour tu l’as été. Tu dansais sur les prés en fleurs, rose parmi les roses, fraîche comme elles, exhalant le parfum de ta virginité. Tu as chanté sereine tes chansons de bambine, et puis tu courais vers la mère, vers le père et tu leur disais: “Vous êtes mes amours”. Et l’invisible gardien que toute créature a à son côté souriait devant la blancheur azurée de ton âme... 
Et puis? Pourquoi? Pourquoi as-tu arraché tes ailes de petite innocente? Pourquoi as-tu foulé aux pieds un coeur de père et de mère pour courir vers d’autres coeurs dont tu n’étais pas sûre? Pourquoi as-tu abaissée ta voix pure en lui faisant dire de mensongères paroles d’un faux amour? Pourquoi as-tu brisé la tige de la rose en te violant toi-même? Repens-toi, fille de Dieu. Le repentir est renouvellement, purification, élan vers les hauteurs. L’homme ne peut-il pas te pardonner? Même ton père ne le pourrait-il pas? Mais Dieu le peut. Car la bonté de Dieu ne peut se comparer à la bonté humaine et sa miséricorde est infiniment plus grande que la misère de l’homme. Honore toi-même, en rendant par une vie honnête, ton âme, digne d’honneur. Justifie-toi auprès de Dieu, en ne péchant plus contre ton âme. Fais-toi un nom nouveau auprès de Dieu. Voilà ce qui a de la valeur. Tu es le vice. Deviens l’honnêteté. Deviens le sacrifice. Deviens la martyre de ton repentir. Tu as bien su martyriser ton coeur pour faire jouir la chair. Maintenant, sache martyriser ta chair pour donner une paix éternelle à ton coeur. 
Va. Allez tous. Chacun avec votre fardeau et votre pensée. Réfléchissez. Dieu vous attend tous et ne rejette aucun de ceux qui se repentent. Que le Seigneur vous donne la lumière pour connaître votre âme. Allez.» 

 

Voila les mots de l’Évêque à la fête de Saint Michel expliquant comment les anges interviennent auprès des hommes pour Dieu.

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